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Ici, on partage !

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31 juillet 2010

Richard II

RICHARD II de Shakespeare, avec Denis Podalydès, dans la cour d'honneur du palais des Papes, AVIGNON, 2010.

  • Quelle curieuse histoire que celle de Richard Plantagenet, sacré huitième roi d'Angleterre à dix ans, assumant réellement les prérogatives de sa charge à quinze, renonçant au trône à trente-deux, avant de mourir, emprisonné, l'année suivante, en 1400. Quelle fascinante tragédie, quelle étonnante fiction que celle écrite par Shakespeare en 1595, à partir de la vie de ce monarque aux contradictions multiples, aimé et haï, fort et faible, qui se revendiquait à la fois homme et roi, et pas seulement souverain de droit divin. Roi martyr pour les uns, roi faible, capricieux, indécis, injuste pour les autres : tous les qualificatifs ont été employés pour caractériser ce corps royal qui entraînera son royaume dans sa chute. La pièce de Shakespeare témoigne de la fin d'un monde sur les décombres duquel l'anarchie et la barbarie règneront. C'est là toute la contradiction de la conception du pouvoir incarnée par Richard II, qui se fonde sur la peur du désordre et conduit pourtant à plus de chaos et de violence. À l'invitation du metteur en scène Jean-Baptiste Sastre, Denis Podalydès endossera, dans la Cour d'honneur du Palais des papes, lieu contemporain du règne de Richard II, le rôle de ce « roi non-roi » comme il se nomme lui-même, ce roi dont la souveraineté est rendue malade par un exercice du pouvoir peuplé d'illusions. La Tragédie du roi Richard II conte sa trajectoire, mais aussi celle, symétrique et malgré tout opposée, d'Henry Bolingbroke, futur Henri IV interprété par Pascal Bongard. Tous deux s'affrontent à mort dans un combat dont l'enjeu principal est la quête du pouvoir, combat qui les conduira l'un et l'autre à une douleur commune. Pour faire entendre la pièce, l'écrivain Frédéric Boyer a fait le choix d'une langue directe, nerveuse, qui rend compte du foisonnement du verbe shakespearien hors de tout romantisme. Un choix qui fait écho au goût de Jean-Baptiste Sastre pour les mots et la littérature, comme en témoigne la présence sur scène des auteurs Jean Echenoz et Pierre Michon. Ce projet nous offrira leur vision commune de ce poème shakespearien qui hante encore aujourd'hui nos cœurs. JFP

  • Distribution

    mise en scène Jean-Baptiste Sastre
    traduction Frédéric Boyer
    scénographie avec Sarkis
    lumière André Diot
    son André Serré
    costumes Domenika Kaesdorf
    vidéo Benoît Simon
    assistanat à la mise en scène Stefano Laguni
    conception du système lumière Barthélémy Robino
    mise en espace sonore Ircam/Markus Noisternig
    conseillers scientifiques Ircam pour la WFS (Wave Field Synthesis) Olivier Warusfel, Joseph Sanson
    technique et production Festival d\'Avignon
    les décors et les costumes ont été réalisés dans les ateliers du Festival d\'Avignon

    avec Axel Bogousslavsky, Frédéric Boyer, Cécile Braud, Jean-Charles Clichet, Florence Delay de l\'Académie Française, Jérôme Derre, Vincent Dissez, Bénédicte Guilbert, Yvain Juillard, Alexandre Pallu, Denis Podalydès de la Comédie-Française, Anne-Catherine Regniers, Nathalie Richard, Bruno Sermonne

    Production

    production Festival d\'Avignon
    coproduction France Télévisions, Les Gémeaux-Sceaux Scène nationale, Centre national de Création et de Diffusion culturelles de Châteauvallon dans le cadre d\'une résidence de création, compagnie Aï, Théâtre de Nîmes, Le Phénix Scène nationale Valenciennes,
    Théâtre de la Place (Liège), Ircam-Centre Pompidou
    avec la participation artistique du Jeune Théâtre national, de l\'École nationale supérieure d\'Art dramatique de Montpellier Languedoc-Roussillon, du Centre des Arts scéniques de la Communauté française de Belgique
    avec le soutien de la Région Île-France, du Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines Scène nationale, du CENTQUATRE Établissement artistique de la Ville de Paris
    avec l\'aide de MMA et de SCOR

    Pour La Tragédie du roi Richard II de William Shakespeare, l'Ircam a mis à la disposition du metteur en scène Jean-Baptiste Sastre un système de diffusion sonore inédit, la WFS - Wave Field Synthesis - qui permet de contrôler les sources sonores dans l\'espace. Couplée au système
    de diffusion conventionnel de la Cour d'honneur, la WFS est utilisée pour le renfort des voix en exploitant la possibilité de co-localiser l\'amplification de chacune des voix avec les acteurs.

    Le Festival d\'Avignon reçoit le soutien de l\'Adami pour la production.

  • La Tragédie du Roi Richard II © Christophe Raynaud de Lage

    La Tragédie du roi Richard II, de Jean-Baptiste Sastre © Christophe Raynaud de Lage

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    16 juillet 2010

    Flan aux raisins, République Dominicaine

    Allez hop ! une autre petite recette...

    pour 4 pers : 1 boîte de lait concentré non sucré, 4 oeufs entiers, 1 càs d'extrait de vanille, 100 gr d'édulcorant en poudre, 4 càs de raisins secs, sel fin
    prép : 20 mn, cuisson : 45 à 50 mn   173 kcl/pers

    Réalisation :  Faites chauffer le fout th 6 (180°) - Mélangez le lait concentré, une pincée de sel, les oeufs et la vanille - Dans une casserole, faites fondre l'édulcorant dans qqs cuillères d'eau - Versez dans la préparation aux oeufs ; ajoutez les raisins secs et mélangez vivement - Versez l'appareil dans un moule allant au four - Préparez un bain-marie et enfournez pendant 45 à 50 mn - Vérifiez la cuisson grâce à la lame du couteau - Laissez refroidir à température ambiante et servez - BON APPETIT !!!

    16 juillet 2010

    Dossier Morden

    Dossier Morden, Thierry Lefèvre et Béatrice Nicodème

    Olivia et Jonathan Cavendish passent leurs vacances en Norvège avec leur mère. Dans le petit port de Morden, ils font la connaissance d'Olrik, un éleveur de saumons antipathique. Lorsque Jonathan déchiffre un inquiétant SMS sur le portable d'Olrik, sa méfiance tourne à l'angoisse. Et si cet homme étrange était un assassin ?
    Coll. nathanpoche, 12x18 cm ; 256 p. ; 6.90 euros

    Un roman pour les élèves de 5ème dans le cadre d'une étude sur le récit policier, le récit à intrigue et dans une visée "culture humaniste" : partager une culture européenne.

    15 juillet 2010

    Kaïna, Marseille

    KAINA MARSEILLE, texte de Catherine Zambon, joué à Villeneuve-en-scène : un lieu magnifique où l'on joue des spectacles originaux ET de qualité !  Pour Kaïna, on nous intalle dans un camion aménagé et dès que les portes se ferment, on se retrouve dans le milieu où vit la petite-fille de Kaïna : les docks de Marseille. Une magrhébine arrivée à Marseille illégalement, enceinte et qui doit faire le deuil de la mort de sa grand-mère... heureusement pour elle, le gardien des dock l'a prise sous son épaule car la vie dans les docks n'est pas facile pour une jeune émigrée... Spectacle d'une vérité désolente et un tantinet violent d'où interdiction au - de 15 ans !  A VOIR !!!

    22h15
    durée : 1h15

    Villeneuve en Scène

    Théâtre

    Kaïna-Marseille

    Catherine Zambon
    Bruno Thircuir

    Dès le 3 juillet à Villeneuve-les-Avignon.
    A son arrivée, le spectateur est précipité dans un container. Il se retrouve face à Mamata, jeune fille exilée d’Afrique. Mamata raconte, elle qui toute son enfance a tant rêvé de France auprès de sa grand-mère Kaïna. Cachée dans ce port inhospitalier, elle retrace son parcours depuis son village jusqu’aux docks de Marseille. Face à ceux qui la rejettent, à ceux qui la soutiennent, face aux spectateurs, Mamata prend parole pour honorer sa grand-mère. Cette pièce évoque, à travers le destin de cette jeune fille, les drames ordinaires des migrants

    du 9 au 23 juillet
    relâche le 15 juillet
    tarif : 16,8€
    tarif carte off : 12€
    tél. réservation : (+33)0432751595

    La Fabrique des petites utopies

    Interprète(s) : Leïla Anis, Alphonse Atacolodjou, Moussa Sanou, Isabelle Gourgues, Slavica Fayard
    Metteur en scène : Bruno Thicuir
    Scénographe : François Gourgues
    Création musicale : Philippe Kodéko, Moussa Sanou
    Costumes : Béatrice Ribault
    Administration : Emmanuelle Robert/Aline Profit/Anne Riera

    DRAC Rhône-Alpes, Région Rhône-Alpes, CGIsère & Haute Savoie,Villes de Grenoble et Cran-Gevrier, UE FEDER, ACsé, Métro, ADAMI, CulturesFrance, MCAE, CRESS

    En familleThéâtre / Théâtre musical / Café-théâtre

    à partir de 15 ans
    15 juillet 2010

    La gonfle

    la Gonfle de Roger Martin du Gard, texte écrit en 1924 et publié en 1928... inconnu au grand public, jamais monté au théâtre.

    Dans le festival Off, nous avons nos théâtres de prédilection...parmi eux, le Grenier à Sel. Cette année, nous avons sélectionné, à une heure qui nous convenait aussi, ce spectacle, cette farce paysanne... Bon Roger Martin du Gard, connu pour ses Thibault, fresque en 18 tomes...ne nous inspirait guère mais bon... nous voilà ressortis ravis de ce spectacle d'une grande qualité : des comédiens ( tous des hommes, même ceux qui interprètent des rôles féminins) fabuleux, une mise en scène très réaliste qui nous projette dans ce milieu de la paysannerie sans effort, et une langue mi-régionale, mi-inventée, mi-bourgeoise parfois (je sais ! ça fait 3 "mi"...) avec laquelle nos oreilles ont peu de mal mais seulement pendant les 10 premières minutes ; ensuite, les 105 minutes restantes, on rit, on s'inquiète du devenir de certains personnages... bref, un bon spectacle, bien réussi !  A VOIR !

    12h05
    durée : 1h55

    Le Grenier à Sel

    Théâtre

    La Gonfle

    Roger Martin Du Gard

    Langue inventée pour des personnages de paysans «affreux,sales et méchants» en prise avec la maladie, l’argent, la mort,le sexe,la jalousie…jouées par des hommes,on est dans le monde de la farce et du grotesque.La Gonfle est une «farce paysanne» fort facétieuse sur le sujet d’une vieille femme hydropique, d’un sacristain,d’un vétérinaire,d’une servante muette et d’une pompe à bestiaux.Comme nos précédentes aventures en compagnie de Calaferte, Köbeli,Minyana,ce rendez-vous est une nouvelle étape sur les chemins de la comédie humaine

    du 8 au 27 juillet
    relâche le 19 juillet
    tarif : 13€
    tarif carte off : 9€

    Théâtre Régional des Pays de la Loire

    Interprète(s) : Didier Royant, Pierre Gondard, Jean Marc Bihour, Patrick Pelloquet
    Mise en scène : Patrick Pelloquet
    Collaboration à la mise en scène : Hélène Gay
    Scénographie : Sandrine Pelloquet
    Costumes : Sylvie Lombart
    Lumières : Emmanuel Drouot
    Maquillage : Carole Anquetil
    Régie générale : Jean Yves Laurendeau
    Diffusion : Annie Guichard

    Le TRPL est une compagnie conventionnée,financée par la Région des Pays de la Loire,la ville de Cholet,la DRAC Pays de la Loire,les Conseils Généraux de Maine et Loire,Mayenne et Vendée
    Production:TRPL

    En familleThéâtre / Théâtre musical / Café-théâtre

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    15 juillet 2010

    L'homme sans qualités

    Et bien voilà, après quelques journées passées à Avignon, à courir après la perle rare des spectacles, s'ouvre une page de premières impressions sur ceux vus jusqu'à ce jour...

    Comme promis page d'avant, L'homme sans qualités d'après le roman inachevé de Robert Musil... Après avoir entendu du néerlandais et lu sa traduction, pendant environ 3/4 d'heure, je ne pus en faire plus et je me suis laissée à poser ma tête sur le dossier du fauteuil...et là, ce fut mortel : la chaleur, le néerlandais et la fatigue du festival ont eu raison de moi...je m'endormis. OH ! d'un sommeil léger, je vous rassure, mais la langue nordique coulait comme un bruit de fond à mes oreilles, me berçait en quelques sortes.
    Voilà pour celui-là ! Ah, oui, il faut que vous sachiez combien on est mal assis dans les fauteuils de l'opéra- théâtre à l'italienne d'Avignon : des fauteuils qui n'ont pas évolué avec leur temps puisqu'ils sont taillés pour des personnes sveltissimes et ceux qui me connaissent, savent combien je n'en fais pas partie !!!

    Autre spectacle pour lequel je m'attendais à un ennui aussi mortel que le précédent, ...non, ça ne pouvait pas être pire ! c'est pour PAPPERLAPAPP de Christoph Marthaler et scénographie d'Anna Viebrock et bien non ! aucun ennui, du rire, un peu d'attente parfois pour des épisodes longuets mais surtout beaucoup de spectateurs outrés, partis bien avant la fin, en huant, en criant, en faisant claquer leur talon sur les marches en fer à la méthode des nazis en colère... Il faut savoir que Papperlapapp est un spectacle sur la religion, sur l'Eglise Catholique mais elle est plutôt malmenée alors ceux qui étaient venus voir l'histoire de  la papauté en Avignon étaient mal renseignés...

    Un guide aveugle arrive sur la scène suivi papperlappappar un groupe de touristes, étonnés, curieux du lieu, regardant tout, épiant tout avec attention mais en pleine forme... Après avoir visité la Religion catholique et arpès avoir appris tous les méfaits de celle-ci, ils en repartent mal en point, boîtant, se soutenant avec des cannes .... que de dégâts a-t-elle fait cette Eglise apostolique et romaine....Une vraie satire de la religion mal vue par beaucoup arrivés dans cette cour d'honneur par hasard... EXCELLENT !

    Pour les curieux, à enregistrer ou à regarder le 17 juillet sur ARTE vers 22h...

    10 juillet 2010

    L'Homme sans qualités I, Festival d'Avignon

    L'Homme sans qualités I

    de Robert Musil

    mise en scène
    GUY CASSIERS / Toneelhuis

    Anvers

    • Théâtre

    • Vidéo

    • Opéra-Théâtre

      Création 2010

      spectacle en néerlandais surtitré en français

      Durée : estimée 3h30 entracte compris

    « Musil, c'est la tentative du tout. Du tout du monde », écrivait Marguerite Duras. Ce n'est pas L'Homme sans qualités, tableau d'un monde en décomposition, texte mythique à l'égal d'À la recherche du temps perdu, qui lui donnera tort. Même si l'on n'a jamais jeté les yeux sur les pages de ce roman sans narration, de cette satire philosophico-politique, de ce gigantesque journal intime, on sait généralement que Robert Musil a passé une grande partie de sa vie à tenter de clore cette œuvre prévue en 123 chapitres, dont seulement 58 sont achevés. Pour envisager l'œuvre dans sa globalité, sa plénitude et sa diversité, Guy Cassiers a demandé à l'auteur flamand Filip Vanluchene d'écrire un cycle théâtral en trois volets, fidèle aux mots de Musil tout en se permettant des ajouts personnels. C'est la première partie de ce travail qui sera présentée au Festival d'Avignon : celle qui touche au plus près l'aspect politique de ces pages, celle qui peint avec exactitude une société qui se survit à elle-même, celle de la fin d'un empire qui va s'effondrer dans les affres de la Première Guerre mondiale. Une époque perçue comme grandiose agonise, sans qu'une ère nouvelle apparaisse. Politicien, industriel, artiste, militaire, psychiatre, hors la loi, femme fatale, égérie composent ce monde déboussolé qui entoure Ulrich, l'homme sans qualités, le héros de la saga qui, s'il en avait le pouvoir, voudrait avant tout « abolir la réalité », Avignon.

    Voilà le spectacle de ce soir, samedi 10/7, 21h30 à l'Opéra théâtre d'Avignon. Et bien je vous en dirai plus un peu plus tard... après une bonne nuit de sommeil (de samedi à dimanche !) car il me faudra au moins ça pour digérer ce spectacle que je subis pour mon compagnon... Je peux presque vous dire, d'ores et déjà que je m'endormirai sûrement...non aux mauvaises langues, ce n'est pas prémédité...mais c'est dans mes gênes : un spectacle le soir, d'une durée supérieure à 1h30-2h00, surtitré en français et de langue néerlandaise, n'a aucune raison de me tenir évéillée donc je prévois une sieste assurée...

    10 juillet 2010

    critique de La Mort d'Adam, festival d'Avignon

    Et bien voilà, chose promise, chose due... me voilà de retour d'Avignon où nous avons vu, hier soir, à 18h30, au Tinel de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, une courte pièce (heureusement !!)  de

                                                                                                                    JEAN LAMBERT-WILD

    LA MORT D'ADAM

    Deuxième Mélopée de l'hypogée

    de J. Lambert-wild, J.-L. Therminarias, F. Royet et T. Collet

    L'histoire se passe à la réunion où est né l'auteur...mais il n'y a pas vraiment d'histoire.

    Une comédienne-lectrice entre sur scène et prend place sur un grand fauteuil en velours bleu. Au -devant de la scène, une toile fine et suffisament transparente servira d'écran et derrière elle, un ou plusieurs comédiens illustrent la vidéo. OUi, il me semble qu'ici, c'est l'image qui passe en premier plan et le théâtre sert l'image.

    La lectrice lit...cette histoire d'un enfant devenant adulte, son chemin de croix, sa souffrance pour devenir un homme... beaucoup d'allégories, un texte trop poétique...on a du mal a y entrer et on en parle encore bien longtemps après pour chercher à comprendre certaines scènes ou pour les mettre en relation entre elles.

    Certains spectateurs sont partis en "huant" les comédiens...aucun respect pour eux ni pour l'auteur ou le metteur-en-scène...

    Nous, on a passé le repas à en discuter, mais on espère que l'autre spectacle du même Jean Lambert-Wild, "Comment ai-je pu tenir là-dedans" ( inspiré de la chèvre de M. Seguin") que l'on doit voir avec notre fille de 14 ans, ne sera pas  aussi hermétique !!!

    9 juillet 2010

    Voix vives

    Nouveau festival voit le jour cette année à Sète, berceau de Georges Brassens et Paul Valéry.
    Pendant une semaine, le Festival Voix Vives prendra ses quartienrs au théâtre de la mer à Sète.

                                                                               

    Au programme : CONCERTS
    le 24/07 Buika
    le 24/04  Daniel Melingo, concert et tango.
    le 26/07 l'Orchestre National de Barbès
    le 28/07 Esam Redzepova et l'ensemble Teodosievski, chatns et musique tzigane.
    le 29/07 Roula Safar
    le vendredi 30 juillet à 21h30 : Julia Migenes, chant, tango et poésie.
    le vendredi 30/07 Yves Jamait, chanson française

    LECTURES
    25/07
    Charlotte Rempling
    25 et 30/07 Sapho
    26/07
    Patrick Dubost et la Cie Bismut
    27/07 Bernard Joyet et Nathalie Miravette
    29/07 Jean-Louis Trintignant

    SPECTACLES
    26/07 Ziya Azazi, danse.
    27/07 Rachid Akbal, Joakim Kaboré et Cathrine Zarcate, contes.

    9 juillet 2010

    Un frère d'Amérique

    Aujourd'hui, ma sélection va vers les élèves de 3ème...Autant joindre l'utilse à l'agréable. L'utile étant bien sûr la connaissance scolaire mais qui va au-delà puisque ces ados vont devenir des citoyens qui doivent avoir leur propre point de vue sur la vie. Donc, petit retour historique en 1917-1919...

    Un frère d'Amérique, C. Couty, P. Barbeau, ilust. Olivier Balez.
       
    Août 1917: un camp de soldats américains s'installe dans le Cher. Jules enrage de ne pas pouvoir partir se battre comme son frère Charles. Lorsque ce dernier meurt au combat, Jules est bouleversé. John, un soldat américain devenu son ami, les soutient jusqu'au jour où, lui-aussi part pour le front...

    13x19 cm- 128 p - 8.25 euros

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